Ahu Jhid... Une enfance remplis de problème, une situation social minable, des situations de plus en plus incontrôlable, des amis les plus louches en qui il ne pouvait pas avoir confiance... Au final, il s'était lié d'amitié avec son arme et était de plus en plus rechercher. La réalité, c'est qu'il ne souhaitait jamais utiliser cette arme. Tout serait facile avec de l'argent. Beaucoup d'argent. il pourrait travailler, bien sûr, mais combien fort pour si peu? De toute façon, qui engagerait quelqu'un comme lui, qui vient des écoles les plus pauvres? Et puis, il était trop tard, il avait déjà menacé trop de gens et volé trop d'argent. Enfin, trop, pas tant. Mais il avait préparé son coup... Il entra dans la banque, se mis à bousculer la foule, il sortit son arme et tira dans les airs. Il n'avait aucun déguisement, il n'en avait pas besoin. Il savait faire peur, ses yeux indiquaient une haine avec le petit peuple bourgeois qu'ils étaient.
-Tous les clients au sol, tout de suite, ne jouer pas au héros et je ne jouerai pas avec votre vie. Les employer, vous aller ouvrir le coffre et...
Il s'arrêta, il avait dépasser la masse de gens qui, au passage, s'était écrouler au sol, devant lui, une femme, une belle femme, tenait un revolver en direction de la caissière qui se tenait devant. Il pointa son arme sur la caissière.
-Faites ce que je dis... Vous, toi, peu importe. Je suis sûr que l'un comme l'autre, on tiens à la vie, alors voilà ce que je te propose. Nous allons partir d'ici, tous les deux, avec l'argent, nous mettre en sécurité, puis nous verrons...
Il se demanda s'il aurait l'occasion de la tuer, puis, pourquoi faire? Il y avait bien assez d'argent pour deux... Et puis, s'en prendre à une femme, même armé, c'était lâche... Si seulement son père l'aurait su, il ne serait pas en prison aujourd'hui...
-Tous les clients au sol, tout de suite, ne jouer pas au héros et je ne jouerai pas avec votre vie. Les employer, vous aller ouvrir le coffre et...
Il s'arrêta, il avait dépasser la masse de gens qui, au passage, s'était écrouler au sol, devant lui, une femme, une belle femme, tenait un revolver en direction de la caissière qui se tenait devant. Il pointa son arme sur la caissière.
-Faites ce que je dis... Vous, toi, peu importe. Je suis sûr que l'un comme l'autre, on tiens à la vie, alors voilà ce que je te propose. Nous allons partir d'ici, tous les deux, avec l'argent, nous mettre en sécurité, puis nous verrons...
Il se demanda s'il aurait l'occasion de la tuer, puis, pourquoi faire? Il y avait bien assez d'argent pour deux... Et puis, s'en prendre à une femme, même armé, c'était lâche... Si seulement son père l'aurait su, il ne serait pas en prison aujourd'hui...