Premier mois! [12 avril]

- Je n’ai jamais vu un esclave aussi insolent et désobéissant !

S’exclama-t-elle alors qu’ils furent dans la piscine, tout habillé en plus, hé bien ça promettait. Elle trouvera quelque chose un de ces jours pour se venger, ça, elle se promettait intérieurement. Elle s’approcha du bord de la piscine puis s’y assit, et en même temps le regardait d’une mine boudeuse va-t-on dire…

Il la regarda aller s'asseoir sur le bord de la piscine. Ah! Elle ne savait pas s'amuser... Il remonta sa bouche à la surface, le temps de reprendre son souffle et s'avança vers elle. Il attrapa son molet et se mit à chatouiller son pied... Il fini par sortir dans tête et l'eau et à lui sourire...

-Je te conseille de me dire tout de suite d'où tu es chatouilleuse, parce que sinon je devrais le découvrir...

- Hé !

S’écria-t-elle lorsqu’il se mit à chatouiller son pied, elle dégagea aussitôt son pied de sa main, étant chatouilleuse également sous les pieds.

- Tu ne crois tout de même pas que je vais te le dire ?

Lui répondit-elle, le regardant avec méfiance, le découvrir comment ? Il n’allait tout de même continuer de la chatouiller, elle voulait se garder une consistance au moins…

-Bon, bah altos...

Il posa les deux mains sur le bord de la piscine et se souleva. Il s'assit sur ce bord et l'attrapa par la hanche, ses mains glissant sous son chandail, il chatouillait son ventre. Quelque chose lui disait que monter plus haut était une mauvaise idée. Pourtant, l'envie ne manquait pas...

-Tu sais ce que j'ai appris? Il y a un nerf dans le cou que dès qu'on embrasse, on a un frisson sur tout le corps et ont est encore plus chatouilleux. Si tu ne me dis pas ton point faible, je devrais utiliser cette technique pour te torturer...

Elle ne put s’empêcher de rire lorsqu’il chatouilla son ventre. Franchement, il n’avait pas besoin d’aller chercher loin pour savoir où elle était chatouilleuse, c’était comme la plupart des gens après tout…

- Pourquoi te le dire, tu as déjà trouvé… mais permet moi de penser que j’ai un doute sur ce que tu as appris.

Lui répondit-elle, un peu sceptique.

-Tu doutes? Alors regarde...

Il se blottit bien contre elle, ses mains posées sur son ventre. Il prit le temps d'humer l'odeur de son cou, alors qu'il était contre elle. Il sentait ses mamelons contre son torse. Il adorait cette femme. Il posa alors un baiser sur son cou et y posa même le bout de sa langue un instant. La seconde d'après, il sentit les mamelons d'Eleanor pointé, comme tout le reste de son corps d'ailleurs, chaque petit pors de peau frissonnait. Il chatouilla son ventre avant plus de douceur, prenant bien son temps, sachant très bien que l'effet était bien multiplier...

-Alors? Tu penses quoi de mes talents de chatouilleur?

Jamais, au grand jamais, un baiser lui a fait autant d’effet que cela. Elle ne comprenait pas cette sensation qui avait traversé son corps quand il avait posé ce baiser là dans son cou. Alors bien évidemment lorsqu’il se remit à la chatouiller, cela lui fit plus d’effet, puisqu’elle avait été moins concentrée sur ses chatouilles.

- Oui, oui, c’est bon, maintenant, je te crois, arrêtes !

Lui dit-elle, continuant de rigoler.

Il arrêta graduellement les chatouilles pour passer aux caresses, toujours étendue contre elle, il sentait encore sa poitrine s'écraser contre son torse, leur ventre était collé. Leurs pieds se frôlaient l'un l'autre, comme un jeu. Il adorait tout cela. En plus, il sentait sa respiration chaude dans son cou. C'était merveilleux... Il rebrassa son point sensible. Il sentit ses tétons combattre son torse pour se dresser, et son ventre vu plus sensible à ses mains... Il fermi les yeux et huma à nouveau l'odeur d'Eleanor. Il la voulait encore malgré le fait qu'elle l'avait clairement repoussé avant.

-Si y'a moyen de faire ton activité installée comme ça, je suis prêt à tout.

Elle se demandait bien pourquoi elle arrivait à le garder aussi près d’elle là en ce moment, car si c’était avant, elle lui aurait depuis longtemps demandé de dégager de là. Peut-être que c’était son comportement aussi amusant qui la retenait de lui dire ça. Et peut-être aussi par la façon par laquelle il arrivait à la mettre dans un état comme cela juste en posant un baiser comme cela dans le cou. Elle ne comprenait pas trop non plus comment lui, un homme, pouvait la rendre aussi… comme ça.

- Ca, ca ne risque pas…

Lui répondit-elle, bon fallait peut-être qu’elle sortait de là, même si c’était en quelques sortes plaisant, elle ne voulait pas que cela se tourne mal en suite. Alors elle le repoussa gentiment, pour qu’elle puisse se séparer de lui…

Lorsqu'il sentit la main sur son torse en train de se repousser, il comprit le message... Mais il ne l'aimait pas. Il était si bien contre elle... Il s'assit quand même devant elle, puis eut un sourire. Il venait de remarquer qu'à cause de l'eau de la piscine, mélanger à l'air frais et à ses vêtements blancs donnait un tableau très... excitant. Il pensa même enlever tous ces tissus pour regarder de plus près... Mais, en fait, il pouvait bien tout voir. Vraiment tout...

-Tu devrais te changer, enfin, si tu veux...

Dit-il quand même, même s'il aurait préféré se rincer les yeux de son corps mouillé un bon moment. Il glissa ses mains naturellement vers les vêtements, déboutonnant le bas de sa chemise. Il était complètement hypnotisé par ses yeux... Si ce n'avait été la main posée sur son torse, il se serait laissé tomber contre elle et l'aurait embrassé avec fougue.

Elle se demandait pourquoi il la regardait comme cela. Avait-elle quelque chose de spécial sur elle là en ce moment ? De toute façon, elle ne chercha pas plus à comprendre, car quand elle vit qu’il commençait à déboutonner les boutons de sa chemise, elle recula, et puis se leva.

- Tu as raison, j’vais aller me changer…

Lui dit-elle, en marchant à reculons, et le regardant en même temps. Puis elle se retourna vers la maison, et partit en direction de la salle de bain pour pouvoir se changer, encore un peu déroutée par le fait qu’il l’ait regardé dans les yeux comme cela, ça l’avait un peu chamboulée…

Il tourna la tête, regardant ses fesses, son dos, son corps entier. Il tomba dans la piscine et avala un peu d'eau. Il lui fallait cette femme. Il ressortit de l'eau, enlevant ses vêtements- sauf les sous-vêtements- et alla dans sa chambre, pour se changer, lui aussi. Lorsqu'il sortit, elle était à nouveau dans la cuisine. Il s'approcha discrètement et l'enlaçant, posa ses mains sur son ventre.

-Dis-moi ce que tu prépares pour le repas du soir, où je t'embrasse dans le cou et je te chatouille jusqu'à ce qu’une mort drôle et enjoué s'en suive...

Elle sursauta lorsqu’elle sentit ses mains se poser autour de son ventre, d’où est-ce qu’il sortait ? Elle ne l’avait même pas entendu arriver.

- Hum… je comptais faire des escargots cuisinés à la française, ça te dirait d’en manger ?

Lui demanda-t-elle, oh bien sûr ce n’était pas le cas, jamais elle ne ferait un repas de ce genre, elle s’était toujours demandée comment les gens pouvaient manger ça, horrible… Elle se tourna vers lui, elle n’aurait peut-être pas du, il était aussi près que cela ? Elle avait son visage juste en face du sien.

-Heu...

Elle s'était déjà retournée avant qu'il réponde, il s'était complètement perdu dans ses yeux. Il ne comprenait plus du tout ce qui lui arrivait. Mais il trouva la force de répondre.

-Je n'ai jamais goûté... Pourquoi pas... De toute façon, c'est toi qui fais à manger...

Ses mains étaient restées en position, dans son dos maintenant... Il la lâcha doucement et sourit. Il lui arrivait un truc d'étrange, et ça, c'était bien. Il adorait. Il voulait recommencer... Mais plus tard...

- Oh hé bien t’inquiètes pas, tant que je serais là je ferais jamais cuir de pareilles choses…

Lui répondit-elle, s’éloignant de lui maintenant. Ah c’était bizarre tout cela, cette sensation quand parfois elle était avec lui, serait-elle la seule à sentir ça, ce truc ou elle ne sait quoi, qui la donnait l’impression d’être… hypnotisé ou un truc dans ce genre, elle ne savait pas comment le définir, tout ce qu’elle pouvait dire c’était étrange. Puis se retournant vers ce qu’elle préparait, elle dit :

- J’ai décidé de faire un gratin, ça sera simple et assez rapide à faire…

Lorsqu'elle lui tourna le dos, il fixa ses fesses un moment, les images qu'il avait vu au travers de ses vêtements revenirent. Il s'approcha et l'enlaça à nouveau, posant ses mains sur son ventre, et la tête sur son épaule.

-C'est pas bon ces esgargots? Bon, tant pis, va pour le gratin. Je ne sais pas plus ce que c'est. De toute façon, si tu me fais manger un truc mauvais, je commande un pizza.

Disait-il, fixant autant ce qu'elle préparait que son décolter. Il se sentait bien avec elle contre lui. Il était bien avec elle dans les alentours. Ah! Il était content d'avoir vu ce qu'elle avait sous tous ses vêtements! Ça vait l'air encore plus délicieux. pourtant, il n'arrivait pas à lui dire ses envies officiellement.

- Dis donc toi, qu’est-ce que tu connais d’autres comme nourriture à part pizza et hamburger ?

Lui demanda-t-elle en plaisantant, même si son comportement là avec elle la déconcentrait un peu. Il avait besoin de l’enlacer comme ça ? Donc, c’est en essayant d’ignorer cela qu’elle finit la préparation de ce qu’elle faisait, puis, elle se dégagea doucement de son étreinte, et alla mettre le plat dans le four.

- Voilà, plus qu’une heure à attendre avant que ce soit bon…

Dit-elle, en programmant le four. Puis elle le regarda, en se demandant qu’est-ce qu’elle allait bien encore supporter venant de lui après.

-Avec la pizza ou l'hamberger, on n'attendrait pas une heure à attendre, en ne sachant pas quoi faire.

Il lui tira la langue puis sourit. Elle s'était encore éloignée de lui, ça lui faisait mal à chaque fois. Il était pourtant certain d'avoir le corps idéal pour prendre soin d'elle. En fait, elle lui avait dit ne pas aimer les hommes, non? Mais il la convaincrait du contraire... Il l'attrapa par la hanche à nouveau et l'entraina jusqu'au salon, où il la poussa à s'asseoir. Il lui donna ensuite la télé commande et s'allongea, posant sa tête sur sa cuisse. Il lui sourit.

-Choisit le cannal que tu veux, j'ai fait mettre quelques canneaux francophones. Je ne sais pas si tu aimeras, mais en attendant, c'est mieux que rien...

Et puis, si ça pouvait la convaincre de garder sa tête sur sa cuisse, c'était parfait.

- Vas-y, te gênes pas surtout…

Lui dit-elle lorsqu’il l’entraîna jusqu’au salon, et qu’après il posa sa tête sur sa cuisse. Ah ce n’était pas possible ces manières qu’il avait avec elle ! Et elle en plus se laissait faire, faut dire aussi elle n’avait plus la force de protester, car cela ne servirait à rien il continuerait à n‘en faire qu‘à sa tête... Et donc, ayant la télécommande en main, maintenant, elle zappa chaque chaîne, jusqu’à en trouver une qui pourrait la plaire. S’il fallait rester là avec lui sur elle comme cela, autant regarder quelque chose qui l’intéressait. Elle s’arrêta donc sur une des chaînes francophones qu’il y avait… il passait une série… américaine, tant pis, ça lui fera passer le temps.

Elle pouvait arrêter avec ses histoires de gêne? Elle savait très bien que c'était elle qui était trop gêné. Il essaya de se concentrer sur la télé. C'était la première saison d'une émission qui se terminerait 4 ans plus tard sur les cannaux francophones, le personnage principal, ainsi que son acteur, étant mort. subittement. Et puis, il lui revenait des images à l'esprit. Les histoires de tout à l'heure, avec elle à la piscine. Sa main s'était glissé sur son molet, qu'il caressait, un peu dans ses vappes. Son autre bras fit le tour d'elle au bout d'une dizaines de minutes, il se blottit contre son ventre, fermant les yeux. Ses souvenirs l'excitait. Il voulait de cette jeune femme.

Elle était bien concentrée à regarder la télévision, elle suivait bien l’histoire de cette série qui était intéressante malgré tout. Après tout, il fallait bien trouver une histoire qui intéresse les spectateurs…. Elle commençait par contre à être un peu déconcentrer lorsqu’il se mit à caresser son mollet, et puis ensuite à se blottir contre elle comme cela. Mais elle ne lui dit rien, tant que ça n’allait pas plus loin, ça allait. Alors, elle essaya de se reconcentrer sur l’épisode qui passait…

Sa main glissa sur sa cuisse, comme il était plus reculler... Puis, il la tira, l'allongeant sur le divant. Il se blottit ensuite contre elle, posant sa tête entre le dossier du divan et son épaule, là où il y avait ses fesses quelques secondes avant... Ses mains ne caressait plus rien. Il n'allait pas exagérer quand même! Il l'avait plutôt enlacer et c'était blottit contre elle. Il souriait. Il arrivait à sentir son corps contre le sien. Il voulait resté comme ça, et s'endormir contre elle. Avec sa poitrine qui se collait contre lui au rythme de sa respiration... C'était parfait!

Elle fut stupéfaite lorsqu’il continua à se comporter comme cela avec elle, oh non, oh non, qu’allait-il l’arriver encore là ? Elle fut soulagée lorsqu’il se blottit finalement contre elle… tant que s’arrêterait à là, car plus, elle ne supporterait plus du tout. Par contre son cœur battait la chamade, elle espérait que ça, il ne le sentirait pas. Au moins, elle ne resterait pas très longtemps comme cela, lorsque le four sonnera dans la cuisine, elle pourra se lever et donc s’échapper de cette situation… mais pour cela fallait déjà que l’heure passait…

Il resta contre elle l'heure complète, sans rien faire de plus, seulement à humer son corps, à être content de sentir sa poitrine contre son torse, à sentir son coeur battre fort, à laisser ses mains glisser le plus discrètement possible. Lorsqu'il entendit la sonnerie du four, il la regarda... Il embrassa sa joue et souris...

-Merci, j'avais vraiment besoin de ce moment contre quelqu'un que j'apprécie beaucoup... Je sais que tu as beaucoup de difficulté avec moi, sans que je sache pourquoi, mais j'aime bien que tu repousses tes limites pour me consoler...

Murmura-t-il à son oreiller, avant de se lever avec ses bras, pour la laisser filer à la cuisinne. Il ne pu s'empêcher de regarder ses fesses alors qu'elle s'éloignait... Un jour, il les caresserait.

- Hum... moui, de rien...

Lui répondit-elle, lorsque cette heure se termina enfin, elle s'empressa de se diriger dans la cuisine, elle se sentait clairement plus à l'aise comme cela, sans besoin d'être contre lui comme cela. Donc, elle enleva le plat du four, et le posa sur le plan de travail, veillant à ce que le plat puisse se rafraîchir un peu pour qu'ils puissent le manger plus tard. Puis elle se redirigea vers le salon, puis lui dit :

- On mangera tout à l'heure, quand ça refroidira...